tag:blogger.com,1999:blog-1195231941056419068.post6891112995268936324..comments2024-01-17T16:54:37.063+01:00Comments on Art et «poïèsis»: « Le Narcisse noir » (Black narcissus) de Michael Powell et Emeric Pressburger (1947)Arthur Debussyhttp://www.blogger.com/profile/17853483757730040957noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-1195231941056419068.post-43544933780896121602011-07-01T10:43:42.337+02:002011-07-01T10:43:42.337+02:00Je te suis complètement : les couleurs de ce film ...Je te suis complètement : les couleurs de ce film sont superbes! Les nuances et les assortiments de teintes sont comme tu le disais dans ta critique sur Allociné dignes de tableaux, même si ce seraient des tableaux académiques. De plus s'il n'est pas à mon goût, il est indéniable qu'il s'avère d'une qualité certaine. Pour moi les auteurs ne parviennent pas à dépasser cet état de qualité pour faire du vrai cinéma (je suis peut-être un peu dur...). Mais je conviens que pour un enfant ce long métrage doit être assez mémorable!Arthur Debussyhttps://www.blogger.com/profile/17853483757730040957noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1195231941056419068.post-8873562874664585782011-07-01T10:33:44.115+02:002011-07-01T10:33:44.115+02:00Le temps passant, je me dis que Powell et Pressbur...Le temps passant, je me dis que Powell et Pressburger sont des cinéastes de films pour enfant... Des films de vacances de Noël, que les grandes chaînes hertziennes diffusent les après-midis précédant le réveillon, et que l'on regarde enfant en se gavant de chocolat (cette image est certes grandement influencée par le fait que j'ai vu pour la première fois "Une question de vie ou de mort" dans ces circonstances et que, jusqu'à ce que je revois le film adulte, j'en gardais un superbe souvenir).<br /><br />Au final, on retient "Les chaussons rouges", pour la scène centrale uniquement, qui reste tout le même très belle. Pour le reste, on est, ou pas, charmé par ce technicolor flamboyant qui, il faut bien le reconnaître, est une esthétique qui correspond bien à un certain romantisme. Je n'en suis pas un adepte, mais j'y reconnais un certain charme. Celui-ci n'agit pas sur moi, mais je le reconnais, ce qui n'est pas le cas des soit-disant grands films américains concurrents du cinéma de Powell/Pressburger.max6mhttps://www.blogger.com/profile/08264839933653031992noreply@blogger.com