« Comme tout artiste honnête, [John Ford] sait qu’on ne peut justifier ce qu’on met à l’écran ni par l’efficacité ni par les intentions, mais par la qualité d’un regard qui engage le regard du spectateur. Ce n’est pas la caméra qui regarde, c’est l’être humain, parce qu’il réfléchit ce qu’il voit. L’œil voit mais c’est l’âme qui regarde. Et c’est l’âme qu’il faut combler, non l’œil. »
Jean Collet
(John Ford. La violence et la loi, 2004)
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